Le futiloscope, c’est quoi ?
Une newsletter de tendances…qui ne filtre que les meilleures particules d’air du temps. Au Futiloscope, on se fiche de savoir qu’un café pour les chats a ouvert à Séoul. Ou qu’un pâtissier new yorkais a hybridé le croissant et le donut. Pas question non plus de s’appesantir sur ces tics du moment visiblement téléguidés par les marques ou les médias : achetez des baskets blanches, achetez des bougies noires, achetez …
En revanche, constater que les plantes vertes de salles d’attente sont brusquement réhabilitées dans les intérieurs branchés nous intrigue. Tout comme découvrir que le bol est « la nouvelle assiette » dans les cantines en vogue… Pourquoi tout le monde se toque du même truc au même moment? Si ce mystérieux phénomène vous amuse aussi, vous êtes au bon endroit.
Deux fois par semaine, le Futiloscope décrypte, avec enthousiasme parfois, et un brin de mauvais esprit souvent, une tendance qui en dit long sur l’époque. L’une de ces tocades collectives qui, mises bout à bout, tissent mine de rien un petit pan d’histoire générationnelle… Pourquoi nous suivre ? Pour pouvoir, à votre tour, jouer (ou pas) les « early adopters » éclairés. Et aussi, lancer plein de nouveaux sujets de conversation fascinants dans les dîners…
Le futiloscope, c’est qui ?
Une blonde, Marie Odile Briet et une brune, Valérie de Saint-Pierre. L’une à New York, l’autre à Paris. Journalistes d’investigation spécialisées dans les faits de société marquants, du retour de l’ampoule à filament à l’irrésistible ascension du Spritz, elles ont beaucoup enquêté sur l’enfer des tendances et les phénomènes paranormaux (clonage spontané, épidémies mystérieuses…) qui les accompagnent.
Dans la grande tradition du reportage de terrain, elles ont souvent payé de leur personne, et transformé leurs enfants et maris en cobayes (elles leur ont infligé du kale, bien avant qu’on en trouve au Monop’).
Elles ont connu le 5 ème come-back de la New Balance, le 10 ème de la Birkenstock, autant dire qu’on ne la leur fait plus ! Fortes de cette immense expérience, elles se sentent aussi légitimes que les gourous des bureaux de style pour disséquer l’air du temps et s’essayer à la prospective. Comme quoi on peut être des trend-setteuses pointues, même si on n’a jamais appris taper des textos avec plus d’un doigt…